18 juin …

En ce 18 juin, une pensée pour celui qui a voulu rassembler ceux qui refusaient la défaite, ceux qui n’ont pas voulu se rendre et ceux qui les rejoindrait dans les années à venir. Le général de Gaulle avait compris que contre les lâches se soumettant aux volontés étrangères il fallait résister, il avait compris que les Français, du moins ceux qui avaient encore a cœur de survivre en tant que Nation, en tant que peuple, devaient s’unir quelque soit leurs divergences. De l’Action Française au Parti Communiste, des villes aux campagnes les plus isolées, des pauvres aux riches, ils devaient se rassembler autour de la France. Ce n’était pas une juste un endroit sur une carte délimité par des frontières sans cesse modifiées par l’Histoire. C’était une idée, un objectif de société, un symbole pour l’Humanité contre les terribles régimes qui, à l’époque, contrôlaient une grande partie du continent européen. Mais cela ne voulait pas dire que cette France qu’il rêvait libérée devait être inféodée aux intérêts d’autrui, ceux du dollar, du pétrole, de la finance. Un allié, n’a pas toujours raison, ni toujours tort, mais, surtout, il n’a jamais le droit d’ingérer dans vos affaires personnelles. S’il le fait cela sera dans ses intérêts, non dans les vôtres. Cela, de Gaulle le savait aussi. Virer les collaborateurs de Vichy, les amis des nazis, ne signifiait pas qu’on devrait les remplacer par les collaborateurs de Paris, les amis de la finance et du grand capital.

 

Le mal que ces derniers font aux Français est indiscutable, c’est un fait. Regardez nos logements sociaux, honteux, hideux, insalubres dès leur construction dans lesquels on a entassé les populations de l’immigration. Regardez notre école, détricotée, qui, bien que les budgets soient très importants voit ses moyens diminués sur le terrain. Regardez notre sécurité, des pompiers agressés, des policiers discriminés et assassinés, une armée dépendante des industries étrangères. Regardez notre alimentation, un suicide d’agriculteur tous les 2 ou 3 jours depuis des années, forcés à vendre à des prix trop bas, ou bien à faire du bio très coûteux. Regardez nos villes, des administrations pas foutues d’organiser les travaux nécessaires mais qui piétonisent les centres-villes par pure idéologie et laisse les trottinettes électriques en circulation faire du slalom entre les passants, les cyclistes et les bus. Regardez l’emploi, les actifs sont en voie de paupérisation, CDD, Uber et autres 15 à 20h de travail dans la semaine pour toucher le RSA. Regardez nos transports, on a fermé des dizaines de lignes en 50 ans et maintenant on s’étonne que les automobilistes polluent alors on veut mettre fin aux carburants d’origine fossiles avec des voitures électriques aux batteries au lithium, une autonomie qui rend les longs trajets impossibles. Regardez notre énergie, le seul pays européen a pouvoir supporter l’impact de la guerre en Ukraine sur le prix du gaz grâce au nucléaire mais non vous comprenez le nucléaire c’est mal quand même entend-on sans cesse dans les médias (bon sur ce point le gouvernement a compris qu’il fallait garder le nucléaire, ouf).

 

Et pendant que tous ces gens bousillent le pays, le démonte pierre après pierre, de quoi parle-t-on ? Sur quoi se dispute-t-on ? Du port du voile, du burkini, des prénoms, de la nocivité ou des bienfaits de l’immigration, de la méchanceté des blancs à l’époque de l’esclavage et de la responsabilité des blancs d’aujourd’hui, des personnes transgenres, du mariage pour tous, de chaque minorité, de l’islam, du judaïsme, du christianisme et de leur potentiel de cohabitation avec les valeurs de la République. On a laissé les questions de morale devenir prioritaires, on a oublié l’essentiel. On se dit que l’immigration et la religion musulmane sont la cause de bien des maux. On se dit que se sont les traditions de ces vieux franchouillards, limites néo-nazis, qui n’aiment pas les nouveaux venus qui empêchent de vivre ensemble. On s’écharpe sur des broutilles, on pense que chaque cause est grande. Non. Les grandes causes transcendent les différences, elles ne les mettent pas en exergue. L’extrême-droite, l’extrême-gauche, la droite, la gauche, le centre. Ça ne veut plus dire grand-chose aujourd’hui. Pour les Français, il y a maintenant deux choix. Celui de l’argent, de la stigmatisation permanente, du diviser pour mieux régner, des conditions de vie, de travail et d’éducation en baisse et celui de la France, de l’idéal de justice, des priorités vitales, de l’Union sacrée, de la survie des Français comme peuple, comme Nation libre, indépendante et souveraine.

 

Pour vous, le drapeau français devrait peut-être être blanc à fleur de lys, tricolore aux abeilles dorées, simplement tricolore, rouge comme le sang du peuple, rouge et noir, des couleurs de l’arc-en-ciel, qu’importe. Sur tous ces motifs imprimez un grand tampon FRANCE à l’encre indélébile et marchez ensemble aux côtés des autres bannières. Ce mot prime sur les différences, ce mot rassemble, ce mot meut les hommes et les femmes depuis presque 1000 ans. Nous n’avons pas le droit de laisser tomber ce mot, il est l’héritage des centaines de millions qui nous ont précéder. Nous ne pouvons pas le laisser être mis aux enchères, à la merci de ce putain d’argent. Il est inestimable, c’est notre bien le plus précieux. Il faut le défendre coûte que coûte, qu’importe nos griefs les uns envers les autres, nous les réglerons plus tard, quand nos besoins essentiels seront assurés. Si cela a pu être fait il y a 80 ans, nous pouvons le faire aujourd’hui aussi. Alors allez votez en conséquence, de donnez pas à Macron les moyens de nous faire souffrir encore plus. Comme la Garde tombée il y 207 ans à Waterloo ne cédez rien, dîtes « Merde ! ». Et si nous ne gagnons pas aujourd’hui n’oubliez pas ces trois phrases qui définissent le caractère de la France :

 

_ »La France a perdu une bataille. Mais la France n’a pas perdu la guerre »

_ »Quoiqu’il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas »

_ »Impossible n’est pas français »

 

Contre les traîtres serviteurs de l’étranger et de l’argent roi les voix de France doivent s’unir. Aimer et défendre son pays n’est pas un crime ou l’exclusivité de ceux qui y sont enracinés depuis longtemps. C’est la fierté ultime, l’honneur du citoyen. Résistons, battons-nous ensemble !

 

Vive la Résistance !

VIVE LA FRANCE !!!

Thomas Debarre