Pour un choc de Souveraineté !

« Le peuple est le fondement de la légitimité. L’État est l’instrument de sa volonté. »

À l’heure où certains agitent des référendums partiels ou des mesures symboliques pour flatter l’opinion sans jamais remettre en cause l’ordre établi, les Bonapartistes appellent à une réforme de fond, radicale et cohérente : un véritable choc de souveraineté.

La France n’a pas besoin de promesses électorales. Elle a besoin d’un sursaut historique.

I – RETROUVER UN POUVOIR PRÉSIDENTIEL FORT : LE RETOUR AU SEPTENNAT RENOUVELABLE

La durée du mandat présidentiel doit refléter la stature de la fonction. Le quinquennat a domestiqué la présidence, l’a engluée dans les logiques parlementaires et l’a soumise au calendrier médiatique.

Nous proposons le retour au septennat, renouvelable.

Un président doit avoir le temps de bâtir, pas seulement de gérer. Il doit pouvoir incarner la continuité de l’État, sans être prisonnier des urgences électorales.

Un chef de l’État fort, légitime et durable : c’est le pilier de l’ordre républicain.

II – METTRE FIN À LA SUBORDINATION LÉGISLATIVE : LES LOIS FRANÇAISES DOIVENT PRIMER SUR LES TRAITÉS

Tant que l’article 55 permet à des traités de supplanter les lois nationales, la souveraineté n’est qu’un mot vide.

La loi votée par le Parlement, expression directe de la volonté populaire, doit primer sur tout engagement international.

Ce n’est pas un repli : c’est une exigence démocratique.

Aucune norme ne peut être imposée à la France sans que le peuple en ait décidé.

C’est cela, l’indépendance nationale.

III – SANCTUARISER LA SOUVERAINETÉ PAR RÉFÉRENDUM : LE PEUPLE DOIT DÉCIDER DES CHOIX FONDAMENTAUX

Il ne suffit pas d’organiser un référendum sur l’immigration tout en laissant intacts les carcans juridiques européens et les juges internationaux qui empêchent d’en appliquer les résultats. Le référendum n’est pas une rustine, c’est un acte de souveraineté.

Nous exigeons que toute modification de la Constitution touchant à la souveraineté nationale soit soumise obligatoirement au peuple.

Ni Congrès, ni compromis : le peuple seul est juge.

IV – UN VRAI CHOC DE SOUVERAINETÉ OU LE DÉCLIN DÉFINITIF

La France ne peut plus être gouvernée à moitié. L’heure n’est pas à la révision technique, mais à la refondation politique.

Nous ne voulons plus d’une République qui s’excuse, qui négocie sa propre impuissance, ou qui confond autorité et bureaucratie.

Nous voulons une République de volonté. Une République qui commande. Une République qui agit.

Les Bonapartistes ne cherchent pas à plaire, mais à restaurer.

Face aux illusions, aux demi-mesures et aux calculs, nous proposons la clarté, la souveraineté, et la grandeur.

Jean Pégot