Une doctrine, une éthique, un destin
Le bonapartisme n’est pas qu’une école politique. C’est un état d’esprit. Une vision de la France. Une discipline intérieure, forgée dans l’exigence du réel, dans le goût de l’action, et dans la fidélité à une certaine idée de la Nation.
Au-delà des principes fondateurs que sont la souveraineté nationale, le progrès social, l’autorité légitime, et l’unité du peuple, le bonapartisme s’adosse à des valeurs morales intransigeantes : Le courage, l’intransigeance dans les convictions, et la fidélité, même dans la tourmente.
Être bonapartiste, ce n’est pas se vendre pour un plat de lentilles.
C’est préférer la solitude du juste à la foule des opportunistes, le long terme au court terme, l’honneur au calcul.
C’est croire que la grandeur de la France ne se négocie pas, qu’elle se mérite et se défend, contre les renoncements, contre la décadence, contre l’oubli.
Une vision politique cohérente, enracinée, durable
Le bonapartisme n’est pas un bricolage d’idées. Il repose sur une architecture claire :
Une souveraineté pleine et entière, contre toute forme d’asservissement supranational.
Un État fort, stratège, garant de l’ordre public, protecteur du faible, rempart contre l’abandon.
Un progrès concret, qui vise à améliorer les conditions de vie du peuple, dans l’équilibre du mérite, de la solidarité et de la responsabilité.
Une unité nationale, refusant tous les séparatismes, les communautarismes, les politiques de fragmentation sociale.
Ces valeurs ne changent pas au gré des modes ou des intérêts électoraux. Elles sont une ligne droite, une boussole, une colonne vertébrale dans un paysage politique devenu illisible et volatil.
L’exemple de Persigny : la fidélité faite homme
Le bonapartisme a ses héros, ses bâtisseurs silencieux. Parmi eux : Jean-Gilbert Victor Fialin, duc de Persigny.
Quand beaucoup trahissaient ou renonçaient, Persigny croyait.
Dans l’exil, dans l’échec, dans le doute, il fut le soldat loyal, le serviteur inflexible, l’ami indéfectible. Il ne courtisait pas le pouvoir, il servait une cause. Et cette cause, il ne l’a jamais abandonnée. Il l’a portée, parfois seul, toujours debout.
Persigny nous rappelle que le bonapartisme est d’abord une fidélité — non à un homme, mais à une idée supérieure de la France.
Un appel à ceux qui refusent de trahir
À vous qui vous réclamez encore du gaullisme véritable ou du bonapartisme authentique.
À vous qui ne retrouvez plus ces doctrines que vous portez dans aucun parti, dans aucune alliance, dans aucune manœuvre électorale.
Sachez-le : les partis qui prétendent les incarner les ont trahies, appauvries, déformées, adaptées à leur convenance pour mieux les vider de leur substance.
Le gaullisme comme le bonapartisme ne sont pas de droite ni de gauche. Ils sont français avant tout, fondés sur le service, le devoir, et la volonté de redresser la nation. Ils refusent l’abandon de souveraineté, le désordre social, la dépendance économique, l’effacement culturel.
Rejoignez le combat de ceux qui n’ont jamais changé
Si vous vous sentez orphelins, incompris, détournés.
Si vous refusez de choisir entre les vieux appareils usés et les fausses révoltes de circonstance.
Si vous croyez encore à la force d’un État juste, à la noblesse de la fidélité, à l’exigence du mérite.
Alors rejoignez ceux qui n’ont jamais trahi.
Ceux qui, comme Persigny, ont tenu bon.Ceux pour qui la France ne se gère pas comme une entreprise, mais se sert comme une patrie.
Le bonapartisme n’est pas un souvenir. Il est une voie d’avenir.
Une force de relèvement.
Un appel à l’unité, au courage, à la justice.
Rejoignez le camp de la fidélité. Rejoignez la volonté française. Rejoignez l’Appel au Peuple.