François nous a quitté le 6 février après avoir lutté courageusement contre la maladie. Hospitalisé depuis plus d’un mois à Toulouse, il est parti entouré de son épouse et de ses enfants.

François était un ami comme tout le monde rêve d’en avoir. Un peu papa, un peu frangin, un peu copain de virée, ces petites choses qui font un TOUT qui s’appelle l’amitié et qui pour lui dépassait tout.

François était un soldat, au sens propre comme au figuré, qui toute sa vie a défendu une certaine idée de la France. Que ce soit sous l’uniforme des Chasseurs Mécanisés, que ce soit sous le costume du chef d’entreprise, que ce soit sous le signe de l’Aigle, il aura toujours eu pour seul objectif la France.

François est un « pur » bonapartiste ayant tout autant chevillées au coeur l’épopée de nos Empereurs que la défense des valeurs qu’ils nous ont légué. Il était de la trempe d’un soldat de l’an II, d’un grognard d’Austerlitz, d’un demi-solde de la restauration, d’un militant de l’Appel au Peuple d’hier et d’aujourd’hui.

Aujourd’hui François a rejoint Thierry Choffat mais aussi les Cunéo d’Ornano, Cassagnac, Amigues, Eschassériaux et autres « mousquetaires » du bonapartisme. Ensemble ils doivent nous regarder et attendre de nous que nous restions fiers d’eux et que nous restions fidèles à leur combat. Personnellement j’en fais le serment !

Au revoir l’Ami !

Vive l’Empereur, vive la France, vive les Français et, comme tu le disais souvent, mort aux cons !